C’est avec des origines bretonnes mais un coeur de parisienne que Garance est venue au monde.
Le dessin s’est imposé de lui-même, comme un allié dans les moments sombres, un compagnon dans les moments de joie, une façon d’appliquer les idées qui bouillonnaient dans sa tête sur papier.
Aujourd’hui le stylet a remplacé le crayon, et les couleurs ont fleuries, éclatées, dégoulinent de partout, les tentacules se sont glissées par les interstices, les monstres côtoient les scènes de vie quotidiennes, hauts talons, courbes, angles, yeux, dents, et puis les gens, beaucoup de gens, tout le temps les gens.
Ses influences majeures sont le cinéma et ce qui l’entoure, les petites choses, des listes de son ou d’images, un gros fourbis de sensations qu’elle essaye au mieux d’étendre sur sa feuille. Ou plutôt son écran.